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Nom du blog :
lesderaisonsducoeur
Description du blog :
Mes souvenirs et ma vie actuelle. Mes impressions sur mes bétises. Analyse de mes déraisons du coeur
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
09.01.2006
Dernière mise à jour :
01.02.2006

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mes amours d'amants

Le géant tourmenté

Publié le 12/01/2006 à 12:00 par mylady
Cet été j'ai rencontré un homme qui me plaisait allors j'ai tenté de l'apaté et pourtant il me semblai que ce géant de 6 pieds presque 6 pouce n'avait pas remarqué mon intéret.

Un soir suite à une journée d'activité et une soiré ammusante suivi d'un party je me suis retrouvée en compagnie de deux charmants garçons qui m'apprirent, lorsque je leur parlai de mon intéret façe à cet homme, qu'il étaient deux de se plus anciens et fidèles amis.

L'un deux malgré mon discourt se mit à me faire si on peu apeller ca ainsi la court. Tentant de me convaincre que celui qui m'attirait n'était pas un bon parti. toute la soiré je fut mielleuse sans pour autant être trop ouverte à lui offrir mes faveur. Comme le géant ne semblais même pas vouloir se rapprocher de moi je me disais que ca ne donnerais rien.

Puis vers une heure du matin quand mon soupirant due retourner chez lui le géant pu enfin se libérer de ses obligation sociale et vint tout près de moi et s'intégra a la conversation que j'avais avec une autre personnes.

Nous avons parlés, étendu près du feu jusqu'a l'aurore allors nous sommes allés nous coucher. Le sommeil ne vennant pas immédiatement et la consomation d'alcool aidant nous avons été des amants d'une nuit qui espérait pouvoir réitérer l'expérience.

Le lendemain nous nous quittames sans nous laisser réellement nos coordonnés.

Quelques jours plus tards je reçue un couriel de lui. Nous avons commencé a nous écrire et a clavarder ensemble a temps perdu.

Malheureusement je m'attache très vite à tout être humain que j'apprécie. Lui s'en rendant compte eu peur que je m'accroche a lui rapellant ue si je voulais une histoire sérieuse il n'était pas le bon gars je tentai de la rassurer mais rien n'y fit il considéra les drniers couriel comme une tentative desespérer de le garder et de devenir sa blonde et je n'eu plus de nouvelles de lui.

C'est un peu dommage mais il m'auras appris deux ou trois choses.
Les gens tourmenté qui ont peur des relations stable ont aussi peur des gens qui s'attachent facillement à tous et chacun. Il est plus facille de se détourner que d'affronter nos peur dans le domaine affectif et c'est ce qu'il as fait. Pourtant grace à lui je suis enfin capable de dire je t'aime à quelqu'un sans avoir l'impression que ça sonne faux ou comme disant un mensonge.

Adolescence : Les été de camps de vacance

Publié le 10/01/2006 à 12:00 par mylady
Je suis née, j'ai grandie et suis devenue un petit bout de femme au sein d'une famille de classe moyenne typique dans sa forme. Papa travaille et maman est femme au foyer. Comme bien des enfants vivant dans ce milieux, mes étés avaient la saveur de la découverte, de l'aventure et de l'ammusement dans les colonies de vacances.

Avec le temps je me rends compte que c'était bien plus des vacances pour les parents que pour nous bien que nous nous ammusions pleinement à ce moment la. Nous ne nous rendions pas compte que pour nos parents cela repr.sentait le seul moi de l'anné ou ils redevenait d'abords et avant tout deux amants, ou ils pouvaient penser à eux et faire ce qu'ils voulaient vraiment.

Quand je repênse a ces étés déliceux trois noms me reviennent en tête.

JIMMI : C'était un timide et rêveur gars de Fermont un peu plus grasset que la moyenne les autre enfants riaient de lui en continuité. Pourtant personnellement je le trouvais mignon et intéressant. Comme nolus étions dnas le meme groupe d'âge la majorité des activité nous ammenaient à être ensemble. La journée précédant la dance de fin de camp, il m'as demander s'il pouvait être mon cavalier. Comme je dit peut-être trop souvent oui , j'acceptai son invitation et l'été 1991 je dansai mon premier slow et eue mon premier baiser. Trois jours plus tards nous retournions chacun dnas notre famille moi sur les cotes gaspésienne et lui dans sa pointe au nord su québec. Nous avons corresponduent quelques temps mais la distance as très souvent raison des amours d'été.

FRANÇOIS : A l'opposé du premier, grand fort, avec de la gueule, de la verve. Lui c'était un coup de foudre déchirant. Devant les autre il se moquait de moi mais en privé il me couvrait d'attention et de tendresse. En public je supportais ses railleries en sachant que dès que nous aurions quelques instants seuls le loup se changerai en agneau mais le loup reste loup. A la dance de fin de camp(hé oui tout les séjours se terminauit ainsi) je l'ai vue entrer dans la salle le bras autour des hanche d'une plus jolie et plus populaire fille. Il passa la soiré avec elle et me laissa choir. finalement je suis partie de la salle masquant mes pleurs et commencai à attendre avec impatience le jour du départ pour ne plus avoir à être déchirer entre mon mépris de ce qu'il était vraiment et mon attirance trop intense envers lui.

JEAN-OLIVIER : C'était mon dernier été en camps de vacance et depuis deux ans je me rendais à un camps spécialisé en aarts et musique. Ce maghnifique homme n'étiait pas comme les autres amours d'été j'avais 16 ans et lui 19 il était moniteur et prof d'atelier au camps. Malgré mon intéret pour les arts il remarqua vite que j'avais toujours les oreille occupée a écouter mes livresplutot que de suivre comme tout le monde les cours et ateliers. Il commenca à s'intéresser a mes léecture jugé trop souvent comme étant lourde et adulte. Voyant qu'a mon jeune âge je m'interrais déja à kafke Camus, Sartre... il me fit découvrir Paolo Cohelo et m'ouvrit tout un univers que je ne connaissait pas. Pour lui j'avait un grand respect, de l'admiration et je le croyait de l'amour. Je fit de veines tentatives pour le séduire tentant toujours de me raisonner sachant que son rôle d'éducateur et son éthique ne lui permettrai pas d'être plus que l'amant de mon coeur et de mon estprit. À la fin du séjours je lui demandai de m'écrire et il le fit. Ce fut le correspondant le plus assidu que j'eue. Nos échanges durèrent près de trois ans et puis les routes de chacun étant trop divergeante nous nous sommes perduent mais il demeure unn doux souvenir mais encore plus le premier qui crut en moi et m'ouvri au monde.

Adolescence : les années au secondaire

Publié le 10/01/2006 à 12:00 par mylady
Je commence l'histoire ici.

Dans les années 1990 j'ai commencée à traverser ma crise d'Adolescence qui ne semble pas encore terminée, enfin parfois je me demande si j'en suis sortie.

Vivant dans une très petite ville il fut difficille de garder, au niveau de ma vie sentimentale, un jadin secret. Tous savaient le nom de mon amour et pourtant je le niais cathégoriquement. l'homme qui a le plus marqué cette époque était un copin de classe avec qui je n'avais pas grands points communs excepté une certaine discrimination de la part des autres élèves. Lui vivant avec une maladie chronique moi étant amblyope. Les premières années nous nous soutenions et ensuite une grande affection nous lia.

Bien que nous n'ayons jamais sortie ensemble ou eu une relation de couple réelle il savait que je l'aimais et vice versa. Poutant lui d'un naturel des plus timide et moi trop craintive ayant peur du rejets plus que tout au monde sommes arrivé au bal de finissant du secondaire chacun avec une autre personne aucun des deux n'ayant oser demander à l'autre de l'accompagner. Ce n'est que quelques années plus tards que nous avons eue le courage de parler de cette apéoque à coeur ouvert.

Pourtant pendant ces cinq années que représente l'école secondaire, même si ne ne voyait que lui, les amourette fûrent nombreuses. À cet âge il est normal que rien ne solit sérieux.

Une idée fixe concernant mes relation avec les garçons était bien encré dans mon petit cerveau d'adolescente à cette époque. Ne pas tomber amoureuse d'un gars de ma ville aller ailleur ne pas rester enraciner à ce bout de p.ninsule baignant dans le golf st-laurent. Ne pas m'attacher sauf a lui sachant qu'il n'aurai pas le courage de s'avouer a moi. vivant de mes peurs, les allimentant, je n'ai jamais eue plus que de petites hisoires de soeur qui finalement n'svait rien a voir avec le domaine des sentiments mais beaucoup plus avec celui du besoin de me sentir aimer, protégé et en sécurité..

C'est d'ailleur a cause de cette insécurité que je choisi le premier homme avec qui je croyai pouvoir faire un petit bout de chemin dans la vie.

se replacer dans l'histoire pour la comprendre

Publié le 09/01/2006 à 12:00 par mylady
[FONT=Courier] Allors voila...
J'ai toujours crue que pour bien comprendre ce qui se passe ou ce que l'on nous raconte il faut savoir tout ce qui as ammené ceci à être. Logique n'est-ce pas mais on ne prends pas assez souvent le temps de replacer les choses dans leur contexte historique.

Il s'avère que dans ma vie je suis une femme avisée pour bien des choses exceptée pour celle du coeur. Comme cela ne touche pas la logique et la raison, j'ai bien du mal a cerner tant ce que je veux que ce que je ressent..

J'ai des amoureux depuis l'age de 13 ans. Je ne sais pas pourquoi j'ai toujours attirée une foule impressionnante de soupirants et pourtant. Je ne suis pas une beauté divine mais passons. comme j'ai toujours eue l'embaras du choix, je ne me suis jamais attardée a chercher le bon partenaire étant donnée que je n'avais qu'à choisir parmis ceux qui se présentaient. Une certaine paresse naturelle calmait automatiquement la chasseresse en moi. Ceci étant bien que j'ai appréciée la majorité de mes compagnons, ils sont rares ceux que j'ai aimé et qui ne fiurent pas des divertissements ou d'agréable passe-temps.

Il est vrai qu'il est dur de croire en l'Amour lorsque notre coeur as été, très jeune, je dirais même trop jeune, blessé et meutri viollament. Je prennais donc celui qui répondait le mieux à mes fantaisie ou mes besions de stabilité ou d'opulence matérielle sans vraiment même considérer que ce que je faisait était peu morale. Par contre je suis toujours demeurée consciente que je n'était pas heureuse.

Le bonheur je me disais, n'était que secondaire tant que la sécurité est la et qu'il est possible de s'ammuser pourquoi se casser la caboche a tenter de trouver celui que l'on aime et qui nous aime aussi en retour. Ce concept que je considérais comme dépassé et non productifs. Pendant ce temps, sans le savoir je tissais le fillets terrible qui me piègerai prendant quelques années.