A propos de ce blog


Nom du blog :
lesderaisonsducoeur
Description du blog :
Mes souvenirs et ma vie actuelle. Mes impressions sur mes bétises. Analyse de mes déraisons du coeur
Catégorie :
Blog Journal intime
Date de création :
09.01.2006
Dernière mise à jour :
01.02.2006

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Fleur de lys partie 3

Fleur de lys partie 3

Publié le 12/01/2006 à 12:00 par mylady
Suite à ma convalescence et a ma rupture avec mon chum et jeolier je retournai au cégep dans la ville qui m'avait vue grandir.
Vide d'espoir je m'abandonnai simplement a l'épicurisme des sens. J'enfermai mon coeur a double tour dans un coffret et me mit a profiter de tout les paisir commetant tout les abus.

Deux ans passèrent ainsi

Chirurgie d'entaire d'urgnece.
S'il est un moment et un endroit ou l'on ne désire pas être secoué par le destin c'est dans la salle d'attente d'un cabinet de dentiste. Lorsque l'on est au prise avec des dents de sagesse qui, ayant poussée au mauvais endroit, empèchent vos machoires de se refermer.
Au mois d'aout 1999, j'était assise avec un ami proche dans cet endroit tel une condannée à mort. Cela faisant plus de 12 jours uqe je ne pouvais plus manger de nouriture solide et puis la porte de la salle utilisé par mon dentiste s'ouvrit. La personne qui en sortit me rapellais des souvenirs mais avec ma vision moindre je ne pouvais assez rapidement identifier cette femme qui d'un pas pressé et légèrement masculin se dirigeais déja dans l'escalier..
Je m'interrogeai mais l'assitante m'apella et puis entre mon nom dit non-chalamment par cette femme, les vertiges due à ma faiblesse je crue rêver.
Une autre voie m'apellais par le nom donné il y a fort longtemps.
Les sillabes résonnères. Ce diminutif suivi du surnom comme s'il sagissait d'un nom composé.
Cette voie celle qui fais pleurer l'âme et saigner le coeur tellement j'avais désespéré de ne jamais plus l'entendre.
Mon coeur palpite, mes yeux se remplissent de larmes.
Je fais volte face même si machinalement l'espace de quelques seconde j'avais continuer à avancer et étant dnas l'entrebaillement de la porte de la salle de torture.
J'ai peur, je suis faible. Mes jambes désirent se dérober sous moi. Mon ami me retient.

Son deuxième assault
Suzanne la lionne, ma fleur de lys est là. elle avance vers moi et puis.
Ses bras m'enlacent, sa crinière vient voiler ma figure. Je tremble tel une pucelle entre les mains de son premier amant.
Quelques mots son dit dont je ne me souvient plus puis elle part disant qu'elle est pressée. Qu'elle repart pour sherbrooke deux jours plus tard.
Elle ne me laisse pas plus d'informations.
Confuse on me rapelle que je dois entrer dans la salle et subir une chirurgie.
À ce moment tout m'est égale. La pire souffrance je viens de la vivre. Se faire redonner l'espoir pour l'anéantir aussitôt.
Je m'assoie dans le fauteuil résignée.

Le retour.
La porte s'ouvre je m'attends à voir le gentil dentiste tenter de ma rassurer sur l'opérations.
Nouvelle palpitation elle est remonté et me dit simplement.
"On dîne ensemlbe au café soum à midi"
j'acquiesse d'un signe de tête pendant que le dentiste la pousse gentiellement hors de la salle.

(pour tout ceux qui ont déja subit une chirurgie dentaire des deux coté en meme temps vous comprendrai aisément que ce dinern'était pas très cohérent avec les capacité actuelle de ma machoir.)

Une fleur et une patate.
Je sortie du cabinet à onze heures cinquante cinq. J'avais tout juste le temps de me rendre au rendez-vous.
Je serrai les dents le plus possible pour faire cesser l'écoulement de sang qui continuais d'envahir ma bouche et puis me libérai des boules de ouates mise pour l'absorbé.
Je marchais sans réfléchir vers ce lieux de rendez-vous ou nous avoins passée, jadis, un nombre d'heures incalculable. Je n'avais pas en tête à ce moment la que les deux coté inférieur de mon visage étaient sous anastésie.
J'entrai elle vint immédiatement à ma rencontre et me présenta sans plus de manière son compagnon son chum, son amant et me demandnat pourquoi l'homme avec qui j'était n'était pas venue.
Elle avait présuposée que c'était mon chum.
Le premier mot que je tentai de faire sortir de ma bouche fut inodible et puis je me forcai.
Je lui expliquai que François n'était qu'un amis et que ce dernier avait déja une personne dans sa vie soit adam.
Je portai mon atention sur julien son copin. Il me fit immédiatement penser au jouet Monsieur Patate. rodellet et peu grand il semblai ajuster se mimique aux notre sans trop savoir pourquoi il souriais ou faisait la moue.
Nous avons parler pendant une heure et demie moi me gardant bien de commander à dîner.
À la fin du repas nous avons échangé numéro de téléphone, adresse de coureil avec la promese sincère de s'écrire, d'apeller et de trouver un temps pour se revoir.